L'archéologie. On retrouve trace d'habitants voici 100.000 ans. Des vestiges gallo-romains y ont été découverts.

Les souterrains. Mythe ou réalité. Un peu des deux ?

Nous avons pu en explorer une partie.

Surprise, surprise ...

Les vignes y étaient cultivées bien avant l'arrivée de l'Empereur JULIEN.

Au Moyen-Age, les vignerons rendaient Saint-Georges responsables de l'abondance et de la pénurie des récoltes. Ils n'hésitaient pas dans le 2ème cas à l'injurier ou à jeter sa statue dans l'Yerres ...

Les distractions. De 7 à 77 ans, tous savaient s'amuser le moment venu...

bals, Saint-Jean, concours de billard ou de pétanque, batailles rangées (guerre des boutons ?), entre les jeunes du haut et ceux du bas, braconnage, premières cigarettes, traversée de la mare cachée ...

Un peintre du plateau Lucien OTT.

HURT et son stade.

Ancien combattant, conseiller municipal, entraineur de foot, ce passionné de sport  a voulu et participé à la création d'un stade qui porte son nom. Membre de nombreuses associations avec son épouse Paula, ils ont animé la vie locale.

L'aéro-club et Monsieur LANDRAY.

La semaine, les vols étant rares, les vaches paissent tranquillement sur les pistes.Les week-ends, bâptèmes de l'air, entrainement, attraction touristique pour les Crosnois et les habitants d'alentours. Décollages, atterrissages, acrobaties se succèdent dans un vrombrissement de moteur poussé au maximum.

L'orphelinat COQUEREL.

En 1899, l'Oeuvre acheta le Château de la Bassinette. Reconnu d'utilité publique en 1891, la création remonte aux années 1861-1862. Jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, les enfants recueillis étaient surtout des orphelins confiés par les paroisses protestantes de la région parisienne. En 1954, un centre de formation professionnelle horticole y a été adjoint.

Eduquer les jeunes pr les jeunes, par la confiance des aînés, la vie de famille recréée, donner beaucoup d'affection à cette jeunesse pour en faire des hommes ...

Château du Bel Air.

Jean-Baptiste BAILLE-LEMAIRE qui succéda à son beau père à la tête de l'usine qui porte son nom, mourrut dans son château en 1918. Il avait fait ses études à Aix en Provence avec CEZANNE et ZOLA. Après "L'affaire DREYFUS", Mme vint s'y reposer.

C'est aujourd'hui une clinique psychiatrique avec un espace ado.